Dans sa description de l'œuvre en langue vulgaire de Lorenzo Ghiberti, Giorgio Vasari, quoiqu'il en dénigre certains aspects, saisit bien, nous semble-t-il, les traits marquants des Commentaires de Lorenzo, en particulier ceux du troisième livre concernant l'optique: Scrisse Lorenzo un'opera in volgare nella quale trattò di molte cose, ma sì fattamente che poco costrutto se ne cava… [que l'on en tire très peu de connaissances utiles…] Né tacerò che egli mostra il libro essere stato fatto da altri [Je ne tairai pas qu'il montre que le livre a été fait par d'autres personnes]